Dans la famille, on est chasseurs dans l'âme... c'est dans les gênes, ça se transmet de mère en fil(le)s.
De génération en génération, on se passe nos petits trucs, on se dit les bons coins, on partage le matériel...
Le dimanche de Pâques, c'est la tradition, on part à la chasse, même s'il a neigé le matin (c'est bien connu, les traces se voient mieux dans la neige).
Donc, heureusement, à midi, ça avait fondu, et j'ai délimité un bout de terrain.
On limite toujours le terrain, parce que sinon, on y passerait la journée hein.
Donc, pour chasser, on a besoin de chasseurs (déjà)... en voilà un qui vient en courant (la chasse, c'est motivant, la traque, la montée d'adrénaline, tout ça tout ça)
Ensuite, il faut des paniers, grands si possible, même si ça ne garantit pas la quantité.
Il ne reste plus qu'à lâcher les chasseurs
Et puis, on n'a plus qu'à déguster, mais on ne mange que le contenu, pas le papier aluminium tout autour... il y en a qui n'ont pas encore tout saisi...
Mais ça viendra...
Une fois le travail fini, on recompte tous les oeufs, pour voir si les 36 y sont. On ne veut pas laisser de papiers dans la montagne n'est-ce pas?
On peut alors repartir à la maison, en courant aussi, parce que le menu, c'est poulet/frites (le gigot, c'est pour demain)