Pour ceux ou celles qui voudraient faire la liqueur de noisettes:
En général j'oublie mes fruits, et ils macèrent beaucoup plus longtemps. C'est pour ça que je viens de mettre en bouteille la cueillette de cet automne.
LENTEMENT MAIS SÛREMENT!
Pour ceux ou celles qui voudraient faire la liqueur de noisettes:
En général j'oublie mes fruits, et ils macèrent beaucoup plus longtemps. C'est pour ça que je viens de mettre en bouteille la cueillette de cet automne.
Pour ceux qui seraient tentés de me traiter d'alcoholique, je précise que je ne bois pas ce que vous allez voir toute seule... Bon, ça ne me dérangerait pas outre mesure, mais ce serait un peu abusif.
Enfin voilà, hier, j'ai mis en bouteille le résultat des macérations de cet été et de cet automne.
Il y a donc la liqueur de cassis (ma préférée), l'abricotine (que je suis incapable de boire, trop forte, je l'utilise dans les gâteaux) et sur la gauche, encore en bocal, avec un air un peu râgoutant: la liqueur de noisettes, un essai de cette année, pas mauvais du tout.
Voilà, on a de quoi boire un petit coup ;-)
Avant toute chose, je tiens à préciser que les ingrédients utilisés n'ont pas souffert, sinon je pense qu'ils auraient crié.
Bon, vous prenez une douzaine de guimauves, et vous les faites fondre avec une cuillerée de lait.
C'est assez curieux à observer, ça fait plein de bulles.
J'étais tellement captivée que je pense que j'ai dû les laisser trop longtemps sur le feu, parce que le résultat n'était vraiment pas esthétiquement brillant...
Pas mauvais, mais terriblement collant, donc bien surveiller que les petites mains soient lavées tout de suite après.
Ainhoa est revenue mardi du collège avec de drôles de devoirs: la prof d'espagnol a demandé que pour vendredi, on amène de la nourriture de Halloween pour faire un goûter.
Ah, bien, bien, ai-je répondu en me demandant quelle était la nourriture typique de Halloween pour un prof d'espagnol? Non, parce que Halloween, ce n'est pas une tradition espagnole alors forcément je me pose des questions :-D
Enfin bref, passons sur les buts pédagogiques de cette initiative, et pour ma part, disons que j'ai fait ce que j'ai pu ;-)
Prendre un veau bien frais, allumer un feu... euh non, on risque de provoquer un incendie... euh, prendre son camping gaz,
découper le veau en tout petit pour que ça tienne dans la casserole... euh non, on va devoir en jeter les trois quarts... flûte! Je le fais cuire comment mon petit veau tout
tendre?
Miam, miam!
Ben quoi, c'est un gâteau aux fruits, ça ne fait pas grossir!
J'ai vraiment une vie passionante!
Lorsqu'il ne fait pas beau et que l'on reste à la maison, on se distrait comme on peut...
Activités qui ne sont pas toujours bonnes pour la ligne...
Ceci est un article particulièrement dirigé à Moukmouk.
Il y a longtemps, nous avions parlé de nos déboires mutuels, concernant la consistance de la gelée de cassis. Nous nous demandions s'il était possible de faire une gelée qui ne soit pas aussi "solide".
N'ayant pas remédié le problème, ma gelée 2010, était aussi consistante que la 2009, mais tout aussi bonne.
Enfin bref, je me suis demandé, si le fait que le cassis ait autant de pectine, aurait aussi une influence dans l'élaboration d'une liqueur (ben quoi, je peux trouver l'excuse que je veux pour m'alcooliser tranquillement).
J'ai donc laissé les cassis macérer pendant 6 mois, et j'ai fini par élaborer une liqueur qui nous a bien plu...
comme en témoigne le niveau de la bouteille (ehem...)
Alors, si ça vous intéresse, voilà la recette:
1 litre d'alcool à 40º, 1 kg de cassis, quelques feuilles de cassis, 500 g de sucre par litre de liquide, eau.
Rincer les baies et les feuilles. Les mettre dans un grand bocal et les recouvrir d'alcool. Fermer et laisser macérer 3 mois (je les oubliés 6 mois). Egoutter. Mesurer le volume de liquide et peser 500 g de sucre par litre.
Verser le sucre dans une casserole avec 50 cl d'eau pour 500 g de sucre. Faire fondre le sucre à feu doux, porter à ébullition, et laisser bouillir un moment. Laisser refroidir. Ajouter le jus de cassis, mélanger et verser dans des bouteilles ébouillantées.
Par contre, je ne sais pas quoi faire avec les baies, ça m'a fait mal au coeur de les jeter. Dans un des livres consultés, ils disaient de les rouler dans du sucre et de les manger comme ça, mais j'en ai goûtée une et j'ai failli m'étouffer tellement c'était fort.
Le stollen est au four
La pâte des "polvorones" est prête
Le civet de sanglier est prêt à cuire
Les "canelons" sont en cours de préparation
Et que personne ne me parle de régime!!!
JOYEUX NOËL ... et bon appétit!