Hips!

Je viens de liquider un litre d'alcohol à 40º C...

Mais non, je ne l'ai pas bu (pas encore), j'en ai juste rempli deux bocaux avec un petit additif.

Ceci est une future liqueur de cassis, dans trois mois il faudra rajouter un sirop dedans si je me souviens bien (il faudra que relise la recette)

Là, on mange beaucoup d'abricots. Je veux tester la liqueur de noyaux (d'abricots s'entend). Je sens qu'il y en a un qui va bien s'amuser quand il faudra donner des coups de marteau sur les noyaux :-)

Le pire, c'est que je ne suis pas du tout amatrice de liqueurs, ça me monte trop à la tête. Mais bon, ça fait bien de proposer une petite liqueur maison en fin de repas... il va falloir que je me mette à inviter des gens du coup.

Petite balade au parc de Sorteny, pas loin de chez nous.

C'est une vallée très fleurie et bien préservée.

Rose

Trolle d'Europe

je cherche

Adénostyle à tête blanche (un nom facile à retenir, surtout que la tête est rose, mais bon...)

Arnica des montagnes

J'ai toujours bien aimé écrire des articles sur mon blog.

Je l'ai toujours fait depuis l'ordinateur du travail... pendant mes pauses, cela va sans dire (si, si, je vous assure... ehem).

A l'école, ce n'est plus possible, forcément puisque je n'ai plus de pauses.

Et à la maison, et bien, le coup c'est de s'y mettre.

Nous avons le wifi, question de ne pas se connecter dans l'entrée, comme on faisait avant, assis par terre avec le portable sur les genoux, c'était plutôt inconfortable.

Le premier appareil qu'on a acheté ne fonctionnait pas, on l'a échangé, et le deuxième ne fonctionnait pas plus. Il paraît qu'on a trop de murs porteurs, et que du coup ça ne passe pas.

Du coup, mon mari a bidouillé une solution provisoire, bon ça dure depuis septembre.

Il faut donc brancher le wifi

(Gabriel adore le débrancher, ce qui coupe tout le temps la connexion)

Ensuite, il faut se placer avec l'ordinateur dans un endroit concret du salon, sinon ça ne capte pas, ça fait un autre câble

 Ce dernier se trouve aussi sur une voie transitée... avec les équivalentes prises de pied dans le câble que cela suppose (mais à force, Gabriel lève les pieds).

Bref, le temps que j'aie installé tout ça, mes petits gâteaux ont largement eu le temps de brûler

Conclusion: même si je suis en vacances, il n'y aura peut-être pas d'article tous les jours...

Bon, là je n'ai plus d'excuses, je suis en vacances, donc je devrais écrire minimum un article par jour... et non... c'était sans compter les trois petits lascars qui vivent à la maison.

Mais il est tout de même temps que je vous raconte la fin de mon année d'essai car ça a failli ne pas passer...

Il faut trois choses pour devenir fixe à l'école (autrement dit, pour ne pas être mis à la porte): il faut obtenir un espèce de master en éducation de l'université d'Andorre (assistance à des cours du soir et rédaction d'un mémoire), ça c'est bon, j'ai obtenu le diplôme.

Il faut aussi un rapport positif de la directrice et de la conseillère pédagogique de l'école où on travaille, là, c'était bien aussi.

Et il faut finalement un avis favorable de l'inspectrice qui nous fait une visite à la fin de l'année, et là, ce n'était pas bien. Du coup, on m'a mis une deuxième visite du jour au lendemain. Ce qui fait que je n'ai eu le temps de rien préparer, mais bon, en fonction de ce qui n'avait pas marché à la première, j'ai paraît-il un peu rattrapé le coup.

Enfin bref, comme le reste était bien, et que je suis consciente de mes erreurs, etc. etc., ils me prennent, mais je serai suivie l'an prochain, pour améliorer les aspects pédagogiques.

J'avoue que cette année, j'ai parfois eu du mal à suivre, l'adaptation au système andorran a été difficile, les cours du soir se sont faits éternels, le mémoire m'a bouffé toutes mes vacances, et je ne me suis pas occupée de mes enfants autant que je l'aurais voulu.

J'ai très mal vécu la fin de l'année et j'avais le moral au plus bas. J'avais vraiment peur de me retrouver sans boulot du jour au lendemain.

Mais là, ça va. Je commence à respirer mieux, et je vais essayer de profiter enfin des vacances avec les enfants (les miens cette fois-ci)

Celle-ci n'est point poilue, mais dangereuse, ce que je ne savais pas au moment de prendre la photo. Ça m'a donné des frissons car Gabriel a la manie d'attraper (et triturer amoureusement) tout ce qui bouge...